CHUUUUUUT....

Publié le par Annhonym







Tout et Rien.
Graine, racine, plante, fleur, fruit , graine... racine... plante.. fleur.. fruit.. graine.
Mystére de cela au coeur de CELA.
Mystére de CELA, au coeur de cela.

Chuuuuuut.





Publié dans mushotoku.com1

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A
<br /> Bienvenue Marie Claude <br /> <br /> je connais un Jean Louis , oui, mais pas son nom.<br /> Peux tu me rapeller le titre de son blog?<br /> <br /> Je crois que lorsqu'on a approché les mêmes "paysages", ou qu'on c'est abreuvé à la même source, goûté les même saveurs on résone toujours à leurs effluves partout ou on les découvre.<br /> Et quelle grâce, cette communion.<br /> Et si on ne les a pas encore gouté en soi, c'est l'intuiton profonde que nous en avons qui les reconnait<br /> <br /> Alors encore bienvenue sur ces petits sentiers là...<br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> Bonsoir Mushotoku,<br /> <br /> C'est en me promenant dans les sites préférés de Jean-Louis Chamuy que je découvre le tien avec émerveillement. <br /> C'est le miracle d'Internet. Découvrir qu'il existe peut-être très loin de chez soi une communion de pensées comme on ne l'atteint jamais avec des êtres parfois si proches.<br /> J'adore tous tes poèmes suggérant combien les mots sont réducteurs. Je ne suis pas loin de croire que, seule, la musique peut nous faire ressentir l'indicible et c'est peut-être pourquoi elle<br /> nous procure autant d'émotions. <br /> Cordialement, Marie-Claude. <br /> <br /> <br />
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D
ah, y'a un changement d'horaire !aurait-on réussi à garer l'antenne !?
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A
Oh oui, beaucoup "d'articulations"sont ici mises au défis.Toutes ces articulations entre le corps, les "coeur" et le mental qui grincent! Car on ne peut libérer un aspect sans liberer les autres, n'est ce pas? On ne nait pas à moitié,ni au tier ni au quart que ce soit par le siége ou autrement. Et les forceps que nous offre la Vie pointent seulement ce qui résiste en nous, tu ne crois pas?.Comme tu le dis tres bien"les démangeaisons de l'ego dans les replis des identifications" !Oui, ne pas porter le silence comme un piercing sur la langue, un "trou" dans le coeur, ou un "vide" dans la tête...
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M
Oui, les premières à gémir furent les articulations ! l'idée de n'être pas le corps était cruellement refusée par "sa" réalité, puis l'idée de ne pas être "moi" était refusée la peur du vide et les démangeaisons de l'ego dans les replis des identifications ! Ne pas porter le silence comme un percing sur la langue ...
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